Chez Tartine

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Réflexions sur le vif

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lundi, juin 25 2007

Léon Zitrone

Lui : Je vais me coucher. Je suis naze.

Moi : Je te rejoins tout à l'heure, je ne suis pas fatiguée.

Lui : Ok. Je vais mettre les boules Quiès, comme ça tu pourras allumer la lumière en venant te coucher.

Moi : ... mouarf mouarf mouarf !!!!

jeudi, juin 21 2007

Encore un choix à faire

Partir 3 semaines en vacances et gagner des clopinettes...

Ou bien partir 2 semaines et grappiller quelques pépettes ?!

Purée, en plus je dois donner ma réponse en début d'après-midi !

mercredi, juin 20 2007

La vie des blogs

Ca fait un moment que ça traîne.

Force est de constater qu'après trois ans de blog, on ne blog plus comme au premier jour. On s'assagit. Ou plutôt, je me suis assagie.

Pourquoi ?

Et bien tout a commencé avec le fait de rencontrer d'autres blogueurs, et a fortiori des lecteurs. Mais je ne me suis pas arrêtée là. Je suis tombée amoureuse d'un blogueur, et on a finit par emménager ensemble. Forcément, ça change la donne, on s'auto-censure et puis on devient hyper feignasse et on n'a pas envie de changer de plate-forme pour retrouver un certain anonymat.

Donc, première grosse erreur, se familiariser avec son lectorat. Et seconde grosse erreur : coucher avec un blogueur.

Avec ces nouveaux facteurs, le contenu du blog évolue.

Après avoir élaboré cette hypothèse à partir de mon propre cas, j'ai finalement étendu ma réflexion aux blogs "amis" que je lis depuis un certain temps déjà. Le constat est le suivant c'est pareil pour tout le monde. Certains, particulièrement prolixes à une époque, ne sont plus que les fantômes d'eux-même sur la blogosphère[1]. D'autres ont radicalement changé petit à petit de ligne éditoriale, de façon consciente ou non, mais certainement[2]. Il y a encore une troisième catégorie, ceux qui postaient déjà peu et qui désormais postent à la Saint Glinglin[3].

Forcément, je suis contrainte de faire des infidélités et d'aller lire ailleurs, parce que c'est pas vous mes agneaux qui me font passer plus rapidement mes heures de bureaux ! Certains finissent même en lien dans la colonne de droite. D'autres ne passent pas la période d'essai. Mais je découvre toujours des petits nouveaux avec un plaisir non dissimulé, soit par des voies indirectes[4], ou via mon blog et les commentaires[5]. Des blogueurs encore inconnus trouvent le chemin de mon blog, et ça, ça me troue le c... m'étonne vachement, étant donné que c'est un peu vide maintenant par ici. En tout cas merci à eux de signaler leur présence et de me faire découvrir de nouveaux blogs.

Mais revenons à nos moutons et à ma conclusion sociologique : pour un bon (non, pas de jugement qualitatif, c'est subjectif et pas toujours véridique) blog, il faut surtout les ingrédients suivants : être célibataire et/ou malheureux, ou bien en couple mais malheureux.

Je vous laisse méditer sur cette réflexion hautement pensée.

Notes

[1] Pour n'en citer que quelques uns : lui, lui, et lui. Essentiellement des mecs donc.

[2] Comme lui ou elle.

[3] Elle, histoire de balancer.

[4] Tel que lui.

[5] Ma meilleure surprise du moment : elle.

vendredi, juin 8 2007

Merci mamie

Intérieur jour : moi discutant avec ma mère de diététicienne dans la cuisine, ma grand-mère assise sur une chaise nous écoutant. Je porte un jean retroussé façon pêche-aux-moules et une tunique flottante. Il fait chaud.

Moi : Oui, mais là c'est plus possible il faut que je fasse quelque chose, alors j'ai pris rendez-vous pour le 21 juin.

Mère : Tiens moi aussi. Mais il faudrait p'têtre que tu manges plus équilibré ?

Mère-Grand : ...

Moi : Je ne m'en sors pas avec la bouffe de la cantine. A chaque changement de rythme de vie je me reprends 5 kgs dans les fesses.

Mère : Oui, je connais le problème j'ai le même.

Mère-Grand (d'une toute petite voix) : Et c'est pour quand ?

Moi (faisant exprès de ne pas comprendre, pour mieux comprendre) : Hum... de quoi ? Mon rendez-vous chez la diététicienne ?

Mère-Grand (toujours d'une toute petite voix) : Euh... le bébé... c'est pour quand ?

Moi : ...

Mère : (morte de rire).

lundi, mai 21 2007

The end !

Enfin ! Enfin ! ENFIN !!!

J'ai fini ce satané bouquin que je me traînais depuis 4 mois !

Je me suis faite violence pour le finir, mais j'y suis parvenue.

Alors maintenant j'aimerais savoir ce que ce bouquin a d'exceptionnel pour obtenir le dernier Goncourt... mmmh ?! Moi j'ai l'impression d'avoir été volée sur la marchandise : on me parle de bouquin à valeur historique, je n'y trouve qu'une vraie-fausse autobiographie d'un petit SS scribouillard surtout porté par ses fantasmes scato-incestueux...

Quelqu'un pour me faire la fiche de lecture ?!

Pour contre-balancer ces quatre derniers mois de prise d'otage, maintenant je vais bouquiner une bonne grosse daubasse, avant de me relancer dans la lecture de bons vieux polars.

dimanche, mai 6 2007

Réaction paternelle

Après avoir envoyé successivement le premier et le second épisode du feuilleton de nos 5 prochaines années puis, par soucis d'équilibre, un article (encore) édifiant, à mon papounet, voici la réponse que je reçus :

Il est tard. Je suis un peu bourré. Certes !!!
J'ai commencé à regarder les vidéos sur SARKO : insupportable !
Puis j'ai lu Onfray en (large) diagonale. Bon !
Puis j'ai voulu consulter les réactions à MO, comme ils disent ...
Horreur !!!
C'est interminable... imbitable... et les mots me manquent !
Comme toujours, écrit avec les pieds et le cul à la place du cerveau !...
Beuark !...
J'ai même pas eu le coeur à faire mon numéro de çui qui maîtrise la langue : on n'en est plus là !
Sauf que je ne sais pas où on en est !
Quelqu'un le sait-il ?
Comme un con, je vais voter la détestable Ségolène pour faire chier l'inimaginable Sarkozy, son infernal jumeau !!!
Y a pas de quoi être fier ...
J'ai bien conscience de désespérer les M***... mais de réjouir G*** ! Et le père T*** !
Mais tout ça en pure perte : ils le veulent trop leur Sarko, les boeufs ! Et c'est toujours eux les plus nombreux...
La seule question qui vaille, après ça : aurai-je encore les moyens de m'offrir de quoi boire suffisamment pour oublier ?...
Désolé de ne pas être le Papa qui tient le cap dans cette merde...
Et en plus, j'arrive pas à remettre la main sur le fameux manuel qu'on reçoit quand on devient papa et qui dit tout ce qu'on doit faire à partir de ce moment...
Allez, à tout' ma Poule !
Bisou et bonne nuit.

Papa

jeudi, mai 3 2007

IRL

Croiser ou plutôt être heurtée de plein fouet dès le matin, les yeux encore collés suite à une nuit trop courte, par une Jean-Claude Convenant force one... c'est vraiment dur pour les nerfs. Et pour ceux de mes voisines de sièges de métro aussi apparemment.

Toute la vulgarité, la grossièreté, la méchanceté et la beaufitude réunies en une seule personne... Je n'imaginais pas ça possible. Et pourtant, ce matin, sur la ligne 8 du métro parisien, force m'a été donnée de constater le contraire. J'ai dû le voir (et l'entendre) pour le croire, telle Saint-Thomas. Mais maintenant ma religion est faite : les gros connards ne sont pas une espère en voie de disparition, ils auraient même tendance, à l'approche des résultats du second tour des élections de sortir à découvert et en plein jour de manière de plus en plus affirmée.

samedi, avril 28 2007

Avis a la populacion

Une fois n'est pas coutume, la Foire de Paris revêt un certain intérêt : cette année on peut y découvrir un stand de sextoys !

Et ma foi les vibros et gods que j'ai pu y voir (merci Antenne2) ouvrent l'appétît.

vendredi, avril 27 2007

Mon maître à penser

Enfin un post que ça fait du bien de le lire.

Michel, je vous aime.

D'ailleurs j'ai réarrangé mes liens pour vous. Si ça c'est pas une preuve d'amour...

mardi, avril 24 2007

Quand les lapsus s'en mêlent

Lorsque dans l'article du Nouvel Obs rapportant l'entretien Onfray/Sarkozy, je lis solution finale au lieu de consultation nationale, je me dis que mon inconscient me lance un puissant signal d'alerte.

samedi, avril 21 2007

Pronostic

Le Pen - Bayrou.

Après le classique Ségo - Sarko, puis Le Pen - Sarko, j'en viens donc à l'inattendu (mais justement) : Le Pen (parce qu'il faut toujours préférer l'original à l'inattendu, la contrefaçon c'est mal) - Bayrou (plus à gauche que Royal elle-même), et un bon score de Besancenot (et pourtant cette fois jeune homme je ne voterai pas pour vous).

Et puis, qui sait, peut-être les plus de 40% d'indécis vont tous se mettre à voter pour Marie-George, qui se hisserait alors aisément en tête. J'aime l'utopie. Ca explique sans doute mon vote.

samedi, avril 14 2007

Florilège

Cékikadi :

"Les gens qui habitent Neuilly sont ceux qui se sont battus pour prendre plus de responsabilités, pour travailler plus que les autres." ?

"La France souffre de l'égalitarisme et d'un état de nivellement." ?

Mmmh ?? C'est kiki ?

vendredi, avril 13 2007

Parigos

P'tain de parisiens qui ignorent ce qu'est un vera et qui se foutent de la gueule de ceux qui savent[1].

Notes

[1] En l'occurence, moi.

mardi, avril 3 2007

Campagne




Je n'avais encore évoqué le sujet, mais voilà qui va être réparé dans l'instant grâce à la campagne d'affichage de AIDES.

Pour l'instant, force est de constater que je n'ai vu dans les rues de Paris que la gueule de Bayrou placardée à l'entrée d'un bistro. Où sont passés les autres ? Là aussi on va nous la jouer proportionnelle en fonction qu'il s'agit de candidats "présidentiables", et les "autres", les petits, les insignifiants médiatiques ?!

Quant à l'attitude inadmissible de Sarko le nabot, elle devrait éclairer ceux qui lui accordent un quelconque bénéfice du doute vis à vis de ses attentions fascisantes.

mardi, mars 27 2007

Que faire ?

Ex P. s'en va. Loin. Très loin même. Il change d'hémisphère et de continent pour tout dire. Pour un an.

Pendant tout ce temps, nous nous sommes aménagés des petites soirées régulières.

Nous n'avons donc jamais perdu le contact. Jusqu'à aujourdhui.

Connaissant son goût pour la communication, je suis quasi certaine de le voir pour la dernière fois.

Maintenant reste à savoir quand se passe cette dernière fois : ce soir, en-tête à tête, au restaurant ; ou bien samedi soir lors de sa soirée de départ, chez lui ?!

Normalement je ne devrais même pas avoir à me poser la question et foncer à sa soirée, ce serait bien normal.

Oui, mais voilà :

  1. Je travaille ce jour là, de 9h30 à 20h30.
  2. Je travaille le lendemain, à partir de 9h30.
  3. Et... surtout, évidement, il y aura sa grognasse, que je n'ai encore jamais rencontrée.

Vous aurez bien compris que ce dernier point qui me gratouille le plus. Je suis partagée entre l'aversion de la rencontrer et l'envie de voir une dernière fois Ex P., et notamment à l'occasion de sa soirée de départ.

Alors je ne sais pas quoi faire. J'oscille. J'y vais... J'y vais pas...


Edit : encore un plan foireux d'Ex P. pour le resto de ce soir (après celui d'hier soir déjà), donc ça me fout la pression pour samedi...

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