C'est pas possible de se traîner à ce point.

D'avoir la vivacité d'une moule.

La vie sociale d'une moufette.

Et la souplesse physique d'un bout de bois.

Résultat d'un peu plus d'un mois de chômage ?

Je l'ignore. Mes deux comparses sont dans le même état.

Je m'interroge donc sur ce qui peut bien traîner dans l'air pour nous mettre dans cet état apathique.