Chez Tartine

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dimanche, septembre 9 2007

Pour briller en société

Et faire bien aux soirée de la baronne de Rotschild, voici une citation tout à fait parlante sur la notion d'inutilité :

"Il était aussi inutile qu'une queue à un curé."

Sheriff Earl McGraw, Planète terreur

vendredi, septembre 7 2007

Démagogie & co

Et la palme du retournage de veste est attribuée à... notre président bien aimé !!!

Hier en Alsace, face aux ouvriers de Liebherr :

"Je sais parfaitement que vous savez qu'il y a des difficultés, vous savez qu'on peut pas réussir tout. Mais j'ai compris aussi que vous attendiez que j'essaye."

Lui qui se positionnait tellement dans l'action durant sa campagne, maintenant, il va se contenter "d'essayer".

mercredi, septembre 5 2007

Toute moisie

Nan mais vraiment, hein !!!

Elle est toute pourrite la fin de la saison 3 de Lost !! Ca donne même pas envie de voir la suite.

Le concept est déjà pris par The nine.

Pffff, je me sens trompée.

Je suis déception.

mardi, septembre 4 2007

L'attente

Hier soir petit saut chez Monsieur le Tatoueur, qui se trouve à 10 minutes de mon boulot, ça tombe bien.

Il devait être fermé pour congés annuel, une chance pour moi, il était miraculeusement ouvert, un jour en avance. C'est un signe.

Je franchis le seuil.

Un couple d'ado boutonneux consulte les classeurs de motifs de têtes de morts et autres dauphins.

Une femme attend, accompagnée de sa fille. Finalement c'est la mère qui est venue se faire tatouer. Etrange de se faire accompagner de sa fille...

La boutique est accueillante, fauteuils et canapés mis à la disposition des clients. Et détail qui tue : -M- tourne sur la platine.

Monsieur le tatoueur arrive, il fait gros nounours sympathique, et m'invite à regarder les motifs pendant qu'il entraîne la mère de famille pour la tatouer.

Après tout, c'est le moment, il y a peu de monde.

Je m'assoie, et pendant presque une heure je feuillette photos et motifs de tatouage. Finalement ce sont toujours les mêmes qui m'intéressent : les motifs végétaux, sa spécialité.

Il fait une pause, et on discute. Je lui expose mes préférences, il semble plutôt emballé. Me parle sensualité du tatouage. A mon tour d'être emballée.

Je lui avoue que je suis venue prendre rendez-vous. Il sort alors un énorme classeur de sous le comptoir, et me propose sa plus proche disponibilité... en décembre. Déception. Mais bon, c'est lui que je veux. Je lui cède donc un accompte de 100€ et lui me promet de me contacter si une place se libère plus tôt.

Je pense que je vais mourir d'impatience d'ici là : plus de 3 mois d'attente... Et j'espère surtout ne pas changer d'avis d'ici là.

Mais je ne pense pas...

lundi, septembre 3 2007

Une tatouée, une vraie

Ah ah !!!

Je le sens ! Cette année j'entre dans la grande communauté des tatoués !

L'année 2007 sera l'année du tatouage sur le cul ou ne le sera pas.

Je ne peux pas être plus prête qu'en ce moment : j'ai choisi le studio, quasiment le motif.

Ne reste plus qu'à se rendre au studio, papoter avec le grand tatoué tatoueur (qui finalement ne l'est quasiment pas, tatoué), échanger sur le motif, l'endroit et la manière, et hop, on prend rendez-vous !

mercredi, août 29 2007

Karma... mais pas sutra

Il parait que ça s'appelle comme ça lorsqu'on a été méchant et que ça nous retombe ensuite sur le coin de la gueule.

Plus précisément, et pour faire pompeux :
KARMA(N), (KARMA, KARMAN) subst. masc. : RELIG. (hindouisme). Sujétion à la causalité, à l'enchaînement des actes, et à la responsabilité qui en découle au niveau du sort dévolu à chacun.

Voilà, voilà.

Donc, P., vous vous souvenez ? Mais si ! P. ! qui m'a fait pleurer toutes les larmes de mon p'tit corps il y a de ça plus de deux ans en me quittant pour une autre plus jeune, infirmière, mais pas terrible et avec des p'tits seins.

Et bien P. avec qui je suis naturellement restée en contact tout ce temps, parti depuis 6 mois au pays de Président Chavez,vient de se faire lamentablement planté par son infirmière. Le voilà donc tout seul à l'autre bout du monde, dans un pays où il se fait braquer tous les 15 jours à coup de flingue, et dont il n'a que les rudiments langagiers. Pour couronner le tout, sa belle le trompait depuis un an avec un mec dont elle est folle amoureuse.

Voilà ! Si ça c'est pas du putain de karma, alors je me fais bouddhiste !

Evidemment il y a deux ans, voire même il y a encore un an je me serais sans doute réjouit secrètement de cette cruelle déconfiture. Ca ne s'appelle plus une baffe, mais un parpaing dans la gueule. Mais bon, le temps ayant fait (heureusement) son oeuvre, je me retrouve à le plaindre (sincèrement) et à jouer les oreilles attentives. Je m'imagine combien il doit être difficile d'être cocu depuis plus d'un an, de se faire larguer pour un autre tellement mieux, mais surtout d'être loin de tous ceux qui pourraient lui apporter un quelconque réconfort. Ca m'était déjà difficile dans mon trou du cul de Tarn et Garonne, alors l'Amérique latine...

Le pire dans cette histoire, c'est qu'elle l'a suivi alors que la grognasse l'a suivi tout en étant amoureuse d'un autre. Comment ne pas se poser l'inévitable question de l'opportunisme de cette dernière. Insomnies, bonjour.

jeudi, août 23 2007

Chat alors !

Ceci expliquerait bien des choses dans les comportements loufoques de mon chat...

Mais... ça voudrait dire que je suis mise sous écoute par la CIA !!!

Rho pinaise... probablement pour avoir voté communiste aux dernières élections.

jeudi, août 16 2007

Un week-end

C'est tellement rare, que c'est un phénomène à marquer d'une pierre blanche : je ne travaille pas ce week-end !

Du coup, ça se fête.

Ca se fête d'autant plus que ça va nous faire deux jours de libres à mon amoureux et moi, ensemble, sans travailler.

Pour la peine, on s'offre un week-end... en Bretagne !

Seul endroit de France où il semble devoir flotter tous le week-end à venir.

Certaines mauvaises langues diront que c'est bien normal, puisqu'il s'agit de la Bretagne. Je répondrai que je compte énormément sur le phénomène des marées pour avoir un tout p'tit bout de ciel bleu.

Et puis qu'importe, après tout il s'agit du pays de la galette, du kouign amann, du beurre salé, et donc des caramels au beurre salé, ainsi que du chouchen, alimentation adaptée à la météo qui nous attend, et totalement anti-régime...

Vivement les embruns, l'air marin vivifiant, et les crêpes au caramel au beurre salé.

Edit : Et une fois n'est pas coutume, je vous balance quelques googleries qui valent le détour :

  • chatter gratuitement grands-mères cochonnes
  • premiere foi dans le troudbal
  • grattage uretre
  • commander un ver solitaire

samedi, août 11 2007

Money

En ce moment j'ai la CB qui me démange.

Et ça se traduit par des achats compulsifs et superflus.

Du genre :

mardi, août 7 2007

12h

Une journée de 12h de taf.

Samerlaputeenstring !!!

Pourquoi ?! Simplement parce qu'on ne juge pas important omet de prévenir le personnel occasionnel des changements de planning !

Une journée 9h-18h, se transforme en 10h30-21h comme un rien, sauf que bon, voilà étant restée sur mes horaires d'origine, je me suis pointée à 9h...

En ayant dormi 4h, j'apprécie peu l'effet de surprise.

V'là t'y pas que ça me reprend

5 kgs en moins.

Un cul à nouveau sortable.

Une chute de reins correcte.

Des nibards un peu moins gros, mais toujours avenants.

Il ne m'en faut pas moins pour raviver ma vieille envie de tattoo, tapie là dans un coin de ma tête depuis quelques années.

Du coup, je vais baver par , sur les oeuvres de monsieur Tin-Tin.

C'est un putain d'artiste quand même.

Ca fait rêver.

Mais je reste hésitante.

Tout d'abord, à cause de l'indélébilité de la chose. C'est le propre du tatouage, je sais, mais j'ai peur de m'en lasser. De vouloir en changer, comme je changerais de parfum, c'est à dire, souvent.

Du coup, il faut que le motif me plaise tout particulièrement, pour que je ne m'en lasse pas. Et là je me heurte à un nouveau problème : me tatouer, oui, mais quoi ?! Grosse, grosse question. Pendant un temps, le tribal maori, la tortue surtout me tentait bien. Puis, le tribal, près du trou d'bal... bof. Récemment, j'ai songé à quelque chose comme ça, mais le côté enfantin et héroïc fantasy qui pourrait être perçu par certain[1] ne me plaît pas non plus. Le côté BD par contre, oui. Mais alors ?! Un Corto ?! Mmmmh... les portraits ne se prêtent pas trop aux reins. Et puis je ne suis pas totalement fan de la BD, seulement du personnage.

Bref, bref... Toujours aussi indécise, mais je me laisserais bien tentée par une visite à l'antre du maître. Peut-être pourrait-il me conseiller... ou se foutre complètement de ma gueule. Donc j'ose pas.

Notes

[1] Je pense notamment aux joueurs de Wow et consort.

dimanche, août 5 2007

Liberté... mon cul !

Alors, là, GROS bémol suite à ma note d'hier consacrée au vélib'.

Le vélib', c'est toujours sympa et pratique.

Sauf... dans le 15ème, où pas un seul vélo n'est emprunté un dimanche matin du mois d'août. Ce qui représente un inconvénient tout particulier lorsqu'on emprunte un velib' mais qu'on est dans l'incapacité de lui trouver un stationnement pour cause de stations pleines à craquer !

Finalement le phénomène s'explique aisément : le 15ème est peuplé de vieux ou de familles nombreuses. De plus, le 15ème est riche, ils ont donc tous leurs vélos personnels et n'éprouvent pas le besoin d'emprunter des velib' comme la simple plèbe.

Au contraire, on rencontre le problème inverse dans les 19ème, 20ème et 10ème arrondissement : une pénurie de vélib'. En effet, arrondissements populaires et jeunes, le velib' est une denrée recherchée. Il faut se lever tôt pour en trouver un de disponible.

Ce qui est mon cas.

Ma situation est la suivante : je vais du 19ème au fin fond du 15ème (bon pas tout en vélo, non plus, faut pas déconner), donc d'un quartier où il n'y a pas y a peu de vélos. Vous comprenez le problème ?!

Le plus emmerdant, excusez du mot, mais c'est bel et bien le cas, le plus emmerdant donc, est d'emprunter un vélo à la station Balard, pour se rendre jusqu'à l'ORTF[1], pour s'apercevoir une fois arrivée que la station est complètement bondée ; on finit par se résigner à rebrousser chemin (déjà un bon quart de retard pour le boulot), puis par péter un câble de retour à la station Balard lorsqu'on constate que celle-ci est également pleine à craquer de vélib' depuis que vous aviez emprunter le votre. Enfin pas tout à fait non plus. Il y avait bien une place restante. Une SEULE ! Mais un connard en congé, trop pressé de se rendre à son entraînement de fitness à l'Aquaboulevard, nous prend de vitesse, alors qu'on descend de vélo, pourtant première arrivée, mais dans l'obligation de soulever l'engin pour lui faire passer le trottoir particulièrement élevé. Et voilà comment on se retrouve contrainte à déposer son putain de vélib' encore plus loin que l'endroit où on l'avait emprunté, grosjeancommedevant, on se retrouve avec 20 mn de marche à pieds au lieu de 10, et un fabuleux retard d'une demie-heure accumulé !

Conclusion bis :

Ne plus prendre de vélib' le matin entre la station Balard et l'ORTF !

Par contre, je ne renonce pas encore pour le soir.

Notes

[1] Soit 2 mn en pédalant, et 10 mn en marchant.

samedi, août 4 2007

Liberté

En tout cas c'est le mot d'ordre de cette nouvelle initiative lancée par la Mairie de Paris : le vélib'.

J'ai enfin testé cette fameuse invention, malgré mes réticences initiales telles que : "Ca fait chier de devoir payer un abonnement en plus de ma carte orange, alors qu'il s'agit d'une même politique : réduire la circulation routière dans Paris et développer les transports en commun."[1]

Ca, c'est dit.

Mais bon, j'étais grave à la bourre pour aller bosser, et en août, à Paris, un week-end, ça prend vite des dimensions surréalistes. Les parisiens me comprendront. Pour les autres, pour résumer : 1/2h d'attente entre chaque bus, tout ça pour à peine 10 mn de parcours.

Me voici donc au pied du mur. Je sais qu'il y a une station de vélib' à 2 mn de chez moi (contre 30 secondes pour l'arrêt de bus), et qu'il me faut environ 5 mn pour aller jusqu'à République en vélo. Le pour et le contre sont vite pesés, étant donnés les 20 mn de retard que j'ai accumulées ce matin.

Première étape : la borne. C'est relativement bien foutu, j'ai tout compris du premier coup, et je ne me suis abonnée que pour une journée, pour le reste on verra en fonction de cette première expérience.

Seconde étape : le déverrouillage du vélo. Check. J'ai du m'y prendre à deux fois pour comprendre le système (je pensais qu'il s'agissait d'un énorme aimant, mais non), mais j'y suis parvenu assez facilement.

Pour l'instant, l'ensemble de cette opération a bien du me prendre 5 bonnes minutes.

Troisième étape : enfourchage du destrier, et... fend la bise ! Là, c'est quand même la meilleure partie. Partir bosser en vélo... Ah, que de bons souvenirs. Et puis franchement, pédaler sur les bords désertés du canal Saint Martin, un samedi matin ensoleillé du mois d'août... C'est grave agréable.

5 minutes plus tard, me voilà arrivée à République, où la station de vélib' est au pied du métro (mais de l'autre côté de la rue), et, soulagement, il y a plein de place pour déposer mon petit bolide, avant de m'engouffrer dans la bouche de métro.

Par contre, une fois arrivée à Balard, et tant qu'à faire d'avoir débourser 1€ pour 24 heures, je me suis dit que je pouvais bien m'épargner 10 mn de marche et prendre un vélib' pour 500m. Mais là, j'ai bloqué, le passage du navigo ne fonctionnait pas comme la première fois. Bon, tant pis, je suis grave à la bourre, j'étudierai ça une autre fois. Ce n'est qu'en marchant que j'ai réalisé qu'il fallait sans doute repasser par la borne, taper son code etc, pour probablement accéder aux engins.

Conclusion :

  • Points positifs :

- Ca peut faire gagner du temps.
- C'est agréable, s'il fait beau.
- On est un peu le maître du monde sur son vélo dans les rues désertes de Paris.

  • Points négatifs :

- Ca fait chier de payer un service de transport en plus de la carte orange. Ca, c'est redit.
- Il faudrait voir à améliorer les vitesses, parce que 3 vitesses c'est un peu limite, on mouline les 3/4h du temps et moi j'aime bien forcer pour avancer plus vite.
- C'est pas super pratique de devoir repasser par la borne à chaque fois, alors qu'il serait si simple de passer simplement son navigo pour emprunter un vélo.

Notes

[1] Bien qu'il ne s'agisse pas ici de transport en commun à proprement parler, on peut malgré tout considérer que ce sont des moyens de locomotion mis à la disposition de la population se déplaçant dans Paris.

jeudi, août 2 2007

Telle maîtresse...

... telle bête.

mardi, juillet 31 2007

Noël en septembre

Pour une bonne nouvelle... c'est une putain de sacrée nom de nom d'bonne nouvelle !!!

Surtout lorsqu'on habite à 10 mn à pieds des MK2 Quai de Seine et Quai de Loire...

Fini les Halles !!! Ou du moins la plupart du temps...

A moins les rediffusions de vieux films autrement que sur mon ordi ou à la télé.

Vivement le mois de septembre !

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