Chez Tartine

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mercredi, avril 4 2007

Je ne pourrai plus jamais dire jamais

Et grâce en soit remercié ma semaine de chômage, sans elle, jamais à 12h15 ce matin je n'aurais été encore vautrée dans mon lit à regarder le dernier épisode de L Word, je n'aurais donc pas ouvert ma porte à un gentil monsieur de l'IFOP souhaitant m'interroger sur les prochaines élections, serais-je d'accord ?

J'ai lâché un gros "Oh oui alors !" enthousiaste qui a paru le surprendre. Qu'à cela ne tienne, il a malgré tout souhaité m'enquêter malgré mon bac+5 qui compte 5 ans de trop selon les critères qui lui étaient fixés.

Nous voici donc installer dans la cuisine en pente, lui en haut derrière son ordinateur portable, moi en contrebas, en peignoir, en parfaite chômeuse chômant.

C'est parti pour une demie heure de questions sur moi[1], François, Ségolène, Nicolas, Jean-Marie, Olivier (un peu) et ma candidate, par la force des choses puisque c'est ma candidate justement, mais elle n'est pas à l'honneur dans le questionnaire.

Mon moment préféré : Sur une échelle de 0 à 10 (0 représentant l'extrême gauche et 10 l'extrême droite), où vous situez vous ? Jean-Marie ? 10. Ségolène ? 5, en lui accordant le bénéfice du doute. Nicolas ? 10. Un pffiouuu souriant, échappa à l'enquêteur.

Me voilà dépucelé du sondage, le vrai, celui qui compte, pas celui concernant la perte de poids chez la femme pour lequel ma mère a été contactée. Et je dois dire, whaa, j'ai adoré ça. En espèrant que mon opinion soit comptabilisé. Mais là, comme aux prochaines élections, j'ai peu d'espoir.

Notes

[1] C'est malpoli de se citer en premier, mais dans ce cadre là, c'est moi ma gueule d'abord.

dimanche, avril 1 2007

Yé soui la plou belle

Veni vidi vici[1]...

Après deux ans de refus, me voici au pieds du mur : je suis obligée de rencontrer la grognasse de ex P., parce qu'il n'est pas question que je n'aille pas lui dire au revoir une dernière fois à l'occasion de sa soirée de départ.

Il a fallu que je bataille ferme avec moi-même pour finalement me foutre un coups de pied au cul et une jupe pour me rendre à cette fameuse soirée.

Ca commence bien : une fois sortie de l'ascenseur-cercueil de l'immeuble, je la croise d'emblée à l'entrée de l'appartement, elle sortant accompagnée du voisin du dessous, et moi entrant dans le miniscule appartement enfumé et surpeuplé. Je ne la calcule pas encore. Ce ne sera que plus tard que je réaliserai qu'il s'agissait d'"elle". Il y a des détails qui ne trompent pas, surtout celui du rôle de "maîtresse de maison" et du "si tu parles plus de deux minutes sans interruption avec mon mec, je lui refile une bouteille de Champ' dans les mains pour qu'il puisse l'ouvrir", ce qui est, vous en conviendrez tout à fait malpoli et malvenu de sa part.

Donc, quelle ne fut pas ma stupeur en constatant que cette fille pour laquelle, je vous le rappelle, on m'a larguée par mail... est tout à fait quelconque, banale et sans attrait. Je rappelle également pour mémoire qu'elle pratique la compétition de step...

Bref, mis à part ça j'ai passé une excellente soirée, revu le frangin et la p'tite belle soeur de ex P., qui sont tous deux adorables, remarqué que les amis que ex P. et moi ne sont pas nécessairement devenus super potes avec "elle"[2], discuté ciné avec une jeune homme au prénom fleuri, malheureusement pas assez longtemps, et au final dormi 4h avant d'aller bosser en ce merveilleux dimanche.

Il n'empêche que ça fait tout de même un petit pincement au coeur de voir ex P. partir à l'autre bout du monde et surtout de l'entendre dire, lui, dans le creux de mon oreille, que pffff... il a les boules de quitter tout ça, tous ces gens, à deux doigts de nous dire qu'ils nous aimaient en fait et qu'il ferait l'effort suprême d'écrire des mails parce qu'il n'envisage pas de ne plus avoir de nos nouvelles.

Une page se tourne.

Notes

[1] En latin dans le texte : "Je suis venu, j'ai vu, j'ai vaincu"

[2] Encore une source de satisfaction pour mon ego.

lundi, mars 26 2007

Les clés de bagnole

J'avais pourtant bien remarqué jeudi dernier que l'ouverture centralisée de ma voiture ne fonctionnait plus. J'ai même changé la pile du bip. Rien à faire. Et c'était sacrément em... parce que l'ouverture centralisée, quand t'as les mains pleines, et ben c'est bien pratique.

Aussi le constat que la batterie était à plat deux jours plus tard fut à la fois un soulagement : ouf l'ouverture centralisée fonctionne toujours ; et un soulagement : notre portefeuille étant délesté de 159 €, prix d'une batterie neuve.

Car, oui, nous, pauvres parisiens, pressés de partir, incompétents en mécanique et surtout incapables de trouver une voiture pour recharger notre voiture, donc nous, bons cons, avons été à la station service de la place d'à côté pour se renseigner sur les modalités de dépannage. Voici le dialogue qui s'en suivit :

- Bonjour, nous sommes en panne de batterie. Serait-il possible de nous dépanner s'il vous plait ?
- Elle a quelle âge votre batterie ?
- Il s'agit d'une voiture d'occasion que nous avons depuis 4 ans.
- Ah ben faut que vous en changiez hein, c'est plus sûr.
- Ah... vous êtes sûr ?
- Sauf si vous préférez tomber en rade sur l'autoroute...
- Bon...

Voilà, donc, nous bons cons (ou pas), on a joué la carte sécurité routière. Résultat : - 20 € de dépannage (pour une marche à pieds de... oh... bien 5mn ! avec une batterie portative à la main) ; - 10 € de pose (3 boulons à dévisser/revisser) ; et surtout - 129 € de batterie... qui après comparaison sur le site norauto que nous avons payé au moins 50 € de trop.

Et tout ça pourquoi ?! Parce que les potes à que je prête gentiment ma p'tite Saxo n'éteignent pas correctement l'autoradio !!!

Soyez gentils qui disent !!!

Certains vont devoir être trèèèèès gentils avant que je ne leur confie à nouveau les clés de ma voiture...

mercredi, mars 14 2007

Des cartons...

Encore des cartons.

Cette fois ce sont des bouquins de poche, des albums photos... et sur mes BD, ou en tout une partie de mes BD.

Pour l'instant je n'ai pu négocier le rapatriement que de 4 cartons plein à craquer de BD (6 de poches + albums photos). Je me suis laissée émotionner par le paternel nouvellement retraité qui souhaite "relire" les collec'... Mouais... C'est surtout un moyen de ne pas faire de trous dans le magnifique tapissage de BD du mur du salon. Les vides c'est pas très esthétique. Le problème, c'est que j'ai le même raisonnement de mon côté : mes étagères vides j'ai bien l'intention de les remplir.

ca va être une guerre des nerfs. Un conflit de longue haleine où tous les coups seront permis : bisous, calins, p'tits mots et autres roucoulades. Ca va être dur, mais j'y arriverai. Peut-être pas tout de suite, ni dans l'année, peut-être même pas l'année prochaine non plus, mais je les récupérerai mes 500 BD et des poussières, accumulées années après années d'anniversaires en petite souris, en passant par le papa noël...

Et lorsque j'aurai tout récupéré, et que tout aura fusionné avec ma nouvelle collec'... Il sera alors temps de déménager pour un 4 pièces.

Merci papa de m'avoir fabriquée de manière à claquer la thune que je n'ai pas en BD et en cinéma. Et merci maman pour le petit cadeau De l'amour filial en général et de mon papa en particulier.

samedi, mars 3 2007

Clap... première

Et oui, première fois de ma jeune vie active (?) que je travaille un week-end : samedi ET dimanche ![1]

Ma première impression ? Bah... pas si mauvaise, on est plutôt peinard dans ces grands locaux pltôt bien chauffés, et lumineux. Ce serait même idéal si je n'avais pas cette montagne de boulot qui m'attend.

Etre au coeur de l'info internationale c'est bien, mais ça laisse peu de répit.

Remarque j'en suis encore dans la période où je ne suis pas mécontente d'avoir deux heures de transports par jour parce que ça me permet de bouquiner.

Autant dire que ça ne va pas durer.

Mais sachant qu'il est rarissime de bosser 4 jours d'affilés sans interruption[2], je vis ces conditions peu conventionnelles assez bien pour le moment.

Pourvu que ça dure.

Notes

[1] Je ne compte pas les colos et autre centre d'animation.

[2] Selon les rumeurs qui traînent dans les (longs, très longs) couloirs de la maison.

lundi, février 26 2007

Ca prend forme

On n'en est pas encore à la déco, la multitude de nos bouquins/BD respectifs n'a pas encore été rapatrié, mais l'appartement prend une tournure de plus en plus habitable, si ce n'est toujours ce côté légèrement penché qui nous contraint à mettre des calles sous tous nos meubles et à faire du niveau notre outil de base.

On trouve même de la place pour garer p'tit bolide dans la rue, et la chatte est enfin sortie de sa léthargie pré+post-déménagement.

Côté boulot, je n'ai pas trop à me plaindre pour le moment, bien que je sois amenée à bosser des week-ends. L'équipe est sympa, le boulot varié, les horaires sont particuliers, et surtout, je bosse enfin sur de l'audiovisuel ! youpi ! Un week-end en pleine semaine dès demain soir, moi, j'aime.

Petits bémols : la connexion internet toujours absente[1], conséquence : je prends du retard dans les séries ; de plus, cette satanée cuisine n'est toujours pas finie d'être aménagée : il semblerait qu'on se soit plantés dans l'achat des éléments muraux, trop imposants. D'ailleurs si quelqu'un est intéressé par un meuble pour micro-onde, qu'il se fasse connaître, nous sommes prêts à lui céder pour un prix intéressant.

Et très bientôt, les apéros d'inauguration, évidemment.

Notes

[1] Toujours merci Monsieur Leneuf pour cette connexion de dépannage.

lundi, février 19 2007

Deux

Une semaine dans nos nouveaux murs et pourtant j'ai l'impression qu'il s'agit d'un mois.

La cuisine, est presque entièrement aménagée, donc tout va bien.

Deux journées d'Ikéa, deux journées marathon, deux journées insupportables : pour résumer 1/3 de courses pour 2/3 d'attentes diverses (2h pour 3h la première fois). Sans compter, que bien évidement, nous avons oublié des morceaux de meubles à chaque fois.

Nous n'avons toujours pas accès à internet de façon "officielle", nous remercions donc bien fort monsieur Levoisin pour sa connexion non sécurisée.

La p'tite bête semble finalement sortir de sa déprime pré et post déménagement, il était temps, cette apathie commençait à devenir inquiétante.

La première semaine de boulot s'est bien déroulée, bonne ambiance, personnes agréables, mais aucun avenir dans cette boîte, c'est évident.

Les élections c'est bien, mais le débat stérile "Ségo ou Sarko ?!" commence gentiment à me gonfler. Comme si l'un des deux représentait une quelconque solution...

Sur ce il est plus que l'heure d'aller me coucher. Jamais après 23h30 depuis une semaine. J'ai au moins pris 10 ans dans ces deux dernière semaines.[1]

Et la vie à deux, c'est pas si pire... pour le moment.

Notes

[1] Ma pneumonie n'y est sans doute pas étrangère.

vendredi, février 9 2007

Connexion

Je vis mes dernières heures d'internet avant un bon moment.

C'est dur.

Que vais-je devenir ?!

Combien de mails vont s'accumuler sur mon compte gmail ?!

Combien de notes vont être ecrites avant de pouvoir les lire ?!

Combien d'épisodes diffusés sans la moindre possibilité de les regarder ?!

Purée, ce que ça va être long...

jeudi, février 8 2007

Les femmes viennent de Mars et les hommes de Vénus

A lire absolument.

vendredi, janvier 26 2007

A la recherche du logement impossible - suite

Donc oui, cet adorable appartement du XIXème arrondissement, à 815€ par mois, nous a été refusé...

Encore celui à 1042€, je me suis faite une raison, peut-être un peu cher (bien qu'actuellement mon logement est plus onéreux encore), mais un appartement à 815€, au 4ème sans ascenseur, dans un immeuble tout décrépi... J'ai du mal à le digérer.

Suite des aventures immobilières : une agente immobilière me rappelle pour me demander si je suis toujours intéressée par un appartement que j'ai visité la veille : superbe 50m² à 976€ par mois, avenue Simon Bolivar, à quelques mètres des Buttes Chaumont, une hallucination cet appartement en quelque sorte. J'avais déposé un dossier au hasard, en pure perte selon moi car visite collective avec 2 autres couples accompagnés de papas/mamans... Et voilà qu'elle me rappelle pour me dire que notre dossier l'intéresse. Je cherche le coup fourré. Je ne le vois toujours pas. Même cette demande de chèque de réservation à la fin de la visite au cas où nous serions toujours intéressé, en contrepartie de quoi l'annonce serait retirée... Même ça, je ne comprends pas le coup fourré. Pourtant il doit bien y en avoir un, parce qu'on ne me fera pas croire que nous aurions droit à cet appartement, pas après deux grosses déconvenues.

Sinon, demain on se met aux particuliers.

Youpi.

lundi, janvier 15 2007

C'est pas si pire

Voyage de 48h dans le fin fond de la Haute-Marne, il s'agit d'aller remonter le morale d'une p'tite poulette en manque de vie sociale et en quête d'amûr.

Accessoirement les premières 48h que la p'tite bête passera complètement seule pour la première fois depuis son arrivée chez nous.

La p'tite poulette en question a bien négocié son installation, petit bicoque en pierre, petit jardin, chauffage à insert, deux chambres, une grande cuisine pourvue d'une énorme gazinière (mon fantasme), et même une vraie cave dans laquelle ses 6 bouteilles ont l'air ridicules. Petit bémol, le loyer lui coûte à peu près la moitié de son salaire, non pas que le loyer soit mirobolant, bien au contraire, c'est le salaire qui est ridicule (1100€ net à bac + 5, faut en vouloir).

Bref, arrivée samedi soir après son boulot, soirée retournage de tête comme il faut et blindtest au coin du feu.

De quoi prendre des forces pour passer le lendemain après-midi aux magasins d'usine de Troyes. Les magasins d'usines c'est tout pourri, surtout en période de soldes, on n'a rien acheter, et pourtant c'est pas faute d'avoir chercher. J'étais même prête à rempiler pour les docks martens (les noires vernis, magnifiques), mais naturellement il n'y avait plus ma taille.

Heureusement, nous sommes allées nous recueillir à Colombey les Deux Eglises, où Tite Coloc', admirant le paysage alentour nous a fait une sortie digne du Général : Ca c'est la France... Rien à ajouter.

Le week-end décalé s'est achevé sur un montage de canapé Ikéa et des retrouvailles déchirantes quelques heures plus tard à l'appartement.

Néanmoins, il me reste un goût un peu amer de ce week-end. Comme une impression d'abandon, là-bas, au fin fond de la Haute-Marne.

mercredi, janvier 10 2007

Une chance que je sois au chômage

A moi la grande mission de trouver LE futur appartement que nous occuperons lui et moi, pour une durée indéterminée qui sera la plus longue possible. A moins que nous gagnons beaucoup mieux notre vie et que nous souhaitions occuper ce genre d'espace...

Mission pas facile donc.

Surtout que je m'emballe beaucoup et qu'il faut souvent réfrener mes ardeurs :

Non, on ne peut pas le prendre tout de suite, on a encore 3 mois de loyers cumulés à payer.

Le Rez-de-chaussée, c'est quand même pas top : impossible de dormir les fenêtres ouvertes, possible fugue de la chatte, sans oublier l'éventualité de cambriolage. Oui, même, pour une gazinière à 6 feux, ça ne vaut pas le coup.

Tu n'habites pas dans la rue, tu ne vas donc pas prendre cet appartement tout pourri à 1050€ sous prétexte qu'on est à 5 mn des buttes chaumon, 2 mn de la mairie du XIXème, 1 mn d'une grande Poste, 1 mn d'un Picard, 30s d'un Nicolas...

Est-ce bien raisonnable de prendre ce superbe appartement dans une belle résidence toute moderne, a prix raisonnable, mais donnant directement sur l'avenue Jean Jaurès. Impossible de vivre les fenêtres ouvertes en été.

Et surtout est-ce bien raisonnable de se précipiter alors qu'il reste un mois et demi avant de ne plus avoir de toit ?!

Donc, après 5 visites en deux jours, j'en ai déjà assez...

lundi, janvier 8 2007

Bourreaux d'enfants

Ou, comment mes voisins se donnent du mal pour me pourrir la vie.

7h17, lundi matin, jour de rentrée scolaire après le passage du papa Noël : quoi de plus naturel comme punition que de mettre sa gamine de 4-5 ans hurlant à s'en péter les amygdales sur le palier de son appartement pour avoir soi-même la paix 15 bonnes minutes durant ?! Oui, mais voilà, dans ce genre de cas a-t-on seulement l'intention de punir son rejeton ou bien surtout ses 3 voisins de paliers, ainsi que les 4 de l'étage supérieur et les 4 de l'étage inférieur (elle avait du coffre la bougresse) ?!

Franchement, qu'ont les gens dans le crâne pour agir de la sorte en milieu urbain et surpeuplé ?! On n'est pas dans le trou du cul du monde où l'on pourrait assassiner une famille de gorets sans que cela s'entende !!! Alors, est-ce que cette attitude participe au complot planétaire qui cherche à obtenir ma perte ?!!!

P'tain... vivement le déménagement.

dimanche, janvier 7 2007

Quelque chose dans l'air peut-être

C'est pas possible de se traîner à ce point.

D'avoir la vivacité d'une moule.

La vie sociale d'une moufette.

Et la souplesse physique d'un bout de bois.

Résultat d'un peu plus d'un mois de chômage ?

Je l'ignore. Mes deux comparses sont dans le même état.

Je m'interroge donc sur ce qui peut bien traîner dans l'air pour nous mettre dans cet état apathique.

mercredi, janvier 3 2007

Le Père Noël existe

Et même qu'il passe par la boîte aux lettres.

Avec un certain retard, certes, mais il passe quand même. Et puis après tout, mieux vaut tard que jamais n'est-ce pas ?!

Donc oui, le vieux barbu a fait son office, sous la forme d'une enveloppe, à l'en-tête de mon ex-société de portage. A l'intérieur, une feuille blanche et verte, qui ressemble à une ultime fiche de paie, et qui porte tout en bas, sous la colonne "net à payer", les chiffres suivants : 765,85 euros...

Si ça c'est pas la magie de Noël alors !!!

Et comme vous pourrez le noter je deviens une chômeuse[1] professionnelle : j'adopte le rythme des exclus de la vie active : coucher tard la nuit, lever tard le midi. C'est mal, mais je manque de temps pour rattraper la lecture de mes dernières BD[2] et pour offrir à mes Sims et à leurs bestioles de compagnies une vie digne de ce nom.

Sur ce, on m'appelle du lit, sur lequel une paire d'yeux jaunes attendrissants me supplient de venir me coucher.

Notes

[1] Sans allocation.

[2] J'en profite pour relire l'ensemble des cycles.

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